Voir Fig. 3 (page 28).
4.4 Préatténuation
Fig. 4 : Commutateur de
préatténuation
cuit. Le système se met alors à siffler. Pour l’interrompre, il faut
ré duire le volume.
Pour éviter les réactions acoustiques, le microphone a une
courbe de réponse polaire du type cardioïde. Cela veut dire qu’il
est très sensible aux sons venant de l’avant (de la source so-
nore), peu sensible à ceux venant des côtes et pratiquement
pas à tout ceux qu’il reçoit de l’arrière.
En plaçant les haut-parleurs de chant devant les microphones,
donc sur le bord latéral de la scène on obtient la meilleure pro-
tection contre l’effet de Larsen. Lorsque vous utilisez des re-
tours de scène, ne dirigez jamais votre micro directement sur
les retours ou les haut-parleurs de la sono.
Certains phénomènes de résonance (tels qu’ils sont déterminés
par l’acoustique d’une salle) peuvent également provoquer un
Larsen, et cela surtout dans la partie inférieure du spectre so-
nore; c’ést donc – indirectement – l’effet de proximité qui en est
responsable. Dans ce cas il suffit souvent d’augmenter la dis-
tance du microphone pour faire disparaître le Larsen.
Dans le cas de sources sono-
res particulièrement puissan-
tes ou lorsque le micro se
trouve très près de la source,
la pression acoustique s’exer-
çant sur la membrane peut
être considérable et le signal
électrique de sortie du trans-
ducteur assez fort pour provo-
quer la saturation de l’étage
adaptateur d’impédance/amplifi cateur qui lui fait suite, ce qui
se traduit par des distorsions audibles. Vous pourrez éviter cet
inconvénient en utilisant la préatténuation commutable sur 10 dB
(env. 1 : 3) ou 20 dB (env. 1 : 10).
4 Utilisation
C 451 B
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